Une conférence énergique et opérationnelle pour installer une langue commune du travail bien fait : le feedback. Au programme : une définition claire du feedback (“nourrir en retour”) et ses frontières (ni ordre, ni évaluation), la différence entre feedback positif (libérer le potentiel) et correctif (réduire les interférences), ainsi que la méthode STAR (SiTuation, Action, Résultat) pour formuler des messages utiles et mémorables. Les participants repartent avec des repères simples, des exemples concrets et des routines applicables dès le lendemain pour renforcer la reconnaissance, accélérer l’apprentissage et améliorer la performance individuelle et collective. Formats adaptés (présentiel/distanciel), tout public managérial et équipes projet, avec un temps de Q&A possible pour ancrer les pratiques.
Définir le management par soumission et management par engagement
Définir ce qu’est (et n’est pas) un feedback
Distinguer ordre, évaluation et feedback — et comprendre pourquoi le feedback crée des effets durables.
Redéfinir la performance individuelle et collective
Mis à jour le
05/03/2024
Dès l’ouverture, la promesse est claire : un langage simple du feedback pour booster reconnaissance, engagement et performance.
La définition du feedback devient un levier business : “nourrir en retour”, sans ordre ni jugement, pour des conversations qui font progresser.
Le cadre “Performance = Potentiel – Interférences” montre où agir immédiatement pour des résultats rapides et durables.
La méthode STAR se transforme en script prêt à l’emploi pour des messages courts, précis et mémorables.
Un mini-atelier amène chaque participant à formuler un feedback positif et un correctif actionnable dès le lendemain.
La posture de réception est dédramatisée : demander des faits, tester à petite dose et décider librement, afin d’installer la confiance.
Des rituels d’équipe clés en main ancrent la dynamique : héros de la semaine, rétro de 10 minutes et 1:1 orienté progrès.
Un plan d’action simple à J+7 et J+30 sécurise l’adoption et mesure l’impact sur le terrain.
Le Q&A convertit vos cas réels en solutions concrètes et immédiatement applicables.
La conclusion donne l’élan : des mots justes, des gestes simples, des résultats visibles — réservez la conférence.
Tout public
Aucun prérequis
Data_Catalogue_Fasterclass_2025 Data_Catalogue_Fasterclass_2025 100% 10 V3 Conférence inspirantes de 10 à 1000 personnes avec un conférencier. Conférence inspirantes de 10 à 1000 personnes avec un conférencier. Activer la prise en charge du lecteur d'écran Pour activer la prise en charge du lecteur d'écran, appuyez sur Ctrl+Alt+Z Pour connaître les raccourcis clavier, appuyez sur Ctrl+barre oblique
"1h & Temps Questions/Réponses Date sur-mesure"
Sur devis
Nous y répondons avec plaisir.
Le feedback est une information consécutive à une observation directe qui nourrit en retour la personne pour l’aider à apprendre et grandir. Deux critères essentiels : 1) s’appuyer sur des faits observés ; 2) apporter une valeur utile (apprentissage, prise de conscience, progression). À noter : le français n’a pas d’équivalent exact – on parle parfois de “retour”, de “conseil”, mais ces termes n’intègrent pas complètement l’idée de nourrir l’autre. Le feedback, lui, n’est ni un compliment plaqué, ni un jugement : c’est une conversation qui fait progresser dans la durée
Les deux servent la performance, mais avec des finalités différentes. Le feedback positif vise à libérer le potentiel en rendant reproductibles les bons comportements. Le feedback correctif cherche à réduire les interférences (ce qui freine) sans attaquer l’estime de soi. La bonne boussole est l’équation : Performance = Potentiel – Interférences. On utilise le positif quand on veut ancrer ce qui marche déjà ; on privilégie le correctif quand on veut sécuriser, fluidifier, corriger une dérive – sans confondre avec un ordre.
STAR est un format court et précis pour formuler un feedback utile : SiTuation (le contexte factuel), Action (ce qui a été fait/dit), Résultat (l’effet produit). Exemple positif : “Hier (réu. client), tu as reformulé les besoins du client avec des questions ouvertes (Action) ; on a gagné en clarté et accéléré la décision (Résultat).” Exemple correctif (tourné futur) : “La prochaine fois qu’un client interrompt (Situation), propose une synthèse avant de répondre (Action) pour éviter les malentendus (Résultat).” Ce format crée une “formule algorithmique” simple que le cerveau retient et reproduit facilement.
Non. Le feedback est un cadeau – un acte libre d’une personne libre à une autre personne libre. Il propose sans imposer. L’ordre peut être nécessaire dans certaines situations (exigence court terme), mais il n’a pas les effets durables du feedback. Ne jamais déguiser un ordre en feedback : c’est source de confusion et de défiance. En management par engagement, le feedback est l’outil privilégié ; en management par soumission, on privilégie l’ordre. Les deux existent, mais on gagne à les distinguer clairement.
Rester dans la liberté : on peut ne pas prendre le feedback, ou le tester à petite dose avant d’adopter ce qui fonctionne. Demander des exemples factuels, clarifier la situation, puis expérimenter (ce que l’on risque surtout, c’est… d’apprendre). En pratique, choisir un sujet précis, solliciter un retour auprès d’une personne “challengeante”, et préparer le terrain pour que l’échange soit constructif : ce trio augmente fortement la qualité des feedbacks reçus.
Le feedback n’est pas réservé aux experts ni aux hiérarchies. N’importe qui peut nous faire grandir avec un regard utile fondé sur des faits. Refuser par principe un feedback parce que l’émetteur ne serait pas “assez légitime”, c’est passer à côté d’opportunités d’apprentissage et de confiance réciproque. La posture la plus féconde : accueillir, tester, garder sa liberté de décision, et remercier pour la matière à progresser.
Trois impacts majeurs ressortent : 1) Estime de soi & reconnaissance – on verbalise ce qui fait la différence et on remplit les “réservoirs” d’estime ; 2) Apprentissage accéléré – au-delà des cours et de l’expérience brute, le feedback est une troisième voie qui rend le progrès plus rapide et plus sûr ; 3) Performance durable – en libérant le potentiel (positif) et en réduisant les interférences (correctif), l’équipe progresse plus vite, plus longtemps.
Commencer par demander la permission (“Dispo pour un feedback ?”) afin de respecter la liberté de l’autre ; ritualiser avec de petites routines (ex. “Balance ton héros” hebdo, points 1:1 mensuels dédiés à l’écoute) ; garder un esprit d’exigence & bienveillance ; aligner les systèmes (formation, reconnaissance) pour éviter la “gadgétisation” (des outils sans compétence). Les routines doivent être courtes, datées et alignées à la culture d’équipe ; mieux vaut un rituel simple et régulier qu’un grand-messe ponctuelle.
La keynote dure environ une petite heure, avec possibilité d’un temps de Q&A et d’adapter le focus (management, ventes, projet, client, hybride) selon vos enjeux. Les formats présentiel/distanciel sont possibles, en séminaire, plénière ou kick-off d’initiative managériale.
Éviter de juger (préférer décrire des faits), de généraliser (“toujours/jamais”), de multithématiser (un message = un angle), et de déguiser un ordre en feedback. Si le court terme est critique, assumer un ordre clair ; pour le durable, privilégier le feedback et préciser le comment (la méthode, pas seulement le résultat attendu). En cas de doute, faire relire son feedback par un tiers (“feedback sur le feedback”) pour sécuriser la forme et l’intention.